Le combat ancestral

Foule en ColèreLe monde complote constamment contre les braves. C'est le combat ancestral - le rugissement de la foule d'un côté - et la voix de votre conscience de l'autre.

Douglas Mac Arthur – Général américain 1880-1964

Matthieu 26 : 4 Ils (les chefs des prêtres et les responsables du peuple) décidèrent d'un commun accord de s'emparer de Jésus par ruse pour le faire mourir.

Matthieu 27 : 17 à 26 En voyant la foule rassemblée, Pilate lui demanda donc :
-        Lequel de ces deux hommes voulez-vous que je vous relâche, Barabbas ou Jésus, qu'on appelle le Christ ?
En effet, il s'était bien rendu compte que c'était par jalousie qu'on lui avait livré Jésus.
Pendant qu'il siégeait au tribunal, sa femme lui fit parvenir un message disant :
-        Ne te mêle pas de l'affaire de ce juste, car cette nuit, j'ai été fort tourmentée par des rêves à cause de lui.
Cependant, les chefs des prêtres et les responsables du peuple persuadèrent la foule de réclamer la libération de Barabbas et l'exécution de Jésus.
Le gouverneur prit la parole et redemanda à la foule :
-        Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ?
-        Barabbas ! Crièrent-ils.
-        Mais alors, insista Pilate, que dois-je faire de Jésus, qu'on appelle le Messie ?
Et tous répondirent :
-        Crucifie-le !
-        Mais enfin, reprit Pilate, qu'a-t-il fait de mal ?
Eux, cependant, criaient de plus en plus fort :
-        Crucifie-le !
Quand Pilate vit qu'il n'aboutissait rien, mais qu'au contraire, l'agitation de la foule augmentait, il prit de l'eau et devant la foule, se lava les mains en disant :
-        Je ne suis pas responsable de la mort de cet homme. Cela vous regarde.
Et tout le peuple répondit :
-        Que la responsabilité de sa mort retombe sur nous et sur nos enfants !
Alors Pilate leur relâcha Barabbas. Quant à Jésus, après l'avoir fait battre à coups de fouet, il le livra pour qu'on le crucifie.

Actes 24 : 16 C'est pourquoi je m'applique sans cesse, moi aussi, à garder une conscience irréprochable, tant devant Dieu que devant les hommes.